Bien sûr, cuisiner soi-même demande un peu plus de temps que d’ouvrir un sachet un noodles instantanées ou que de mettre la barquette de lasagnes au micro-ondes. Mais si ce temps là était loin d’être perdu ? Car cuisiner pour soi et pour les autres a de nombreuses vertus…
1. Cuisinier pour la santé
Il suffit de commencer à lire la longue liste des ingrédients des plats tout prêts pour constater que la plupart sont des éléments chimiques ou, en tout cas, pas très naturels et surtout que, en théorie, ils seraient inutiles dans un plat maison. D’autres parts, la qualité des ingrédients utilisés est souvent médiocre, voire mauvaise, et la traçabilité reste encore toute relative. Cuisiner soi-même, c’est choisir ce que l’on met dans son assiette, et comme le dit le proverbe : « la santé commence dans l’assiette ».
2. Cuisinier pour la ligne
Dès lors que l’on sait que les plats tout préparés étiquetés lights sont en réalité bourrés de sucres cachés et d’additifs, on comprend que pour mincir ou pour rester mince, il vaut mieux garder les rênes de ce que l’on mange. Retrouver le goût des choses simples rime bien souvent avec le goût des choses saines.
3. Cuisinier pour faire des économies
Un calcul rapide suffit pour s’apercevoir qu’une quiche lorraine faite maison revient beaucoup moins cher que de l’acheter toute faite au rayon frais ou surgelé. Et il en va de même pour tous les autres plats.
4. Cuisinier pour la créativité
Parce qu’en réalité cuisiner, ça n’est pas si compliqué, et que pour changer des éternelles coquillettes jambon, il suffit d’un peu d’imagination, d’intuition et de gourmandise. Déguster un plat entièrement créé par soi, quelle satisfaction ! Et autant de saveurs.
5. Cuisinier pour les enfants
A l’heure où les enfants grignotent plus qu’ils ne mangent tout en regardant la télé et en s’ennuyant profondément, quelle belle activité que celle de la tambouille ! Les enfants adorent pétrir la pâte, confectionner des biscuits ou garnir d’ingrédients délicieux la pâte à pizza qu’ils ont eux-mêmes étalée au rouleau. Au-delà du vrai apprentissage de la santé à partir de l’assiette, cuisiner en famille promet de jolis moments d’échanges et de franches rigolades.
6. Cuisinier pour être zen
Cuisiner pour être zen ? Eh bien oui. Car aussi surprenant que ça puisse avoir l’air, cuisiner c’est presque comme méditer. Quand on cuisine, on se concentre sur ce que l’on fait, et avoir les mains occupées, ça libère les pensées. Alors faire la cuisine plutôt que de prendre un antidépresseur ? Pourquoi pas !
7. Cuisinier pour le partage
Que ce soit par le partage de bonnes recettes et de petites astuces entre copines ou au travers d’une invitation à dîner, la cuisine c’est du partage, du lien social, de l’échange. Et voir des personnes aimées se régaler d’un plat fait par ses propres mains, c’est aussi savoureux que gratifiant.